La pause déjeuner peut être un casse-tête lorsqu’on est pressé ! Pourtant, en analysant les bons signaux et les mécanismes en lien avec le repas comme la faim, le rassasiement ou la satiété, vous serez capable de composer un repas équilibré…

Il est nécessaire de ressentir la faim, cette sensation désagréable qui nous avertit du besoin d’apporter à nouveau de l’énergie pour fonctionner correctement. Il faut être réceptif à cette faim afin d’être capable d’y répondre le mieux possible.

 A table, il est impératif de se poser, prendre le temps et de manger lentement (même un sandwich) pour être capable de s’arrêter de manger dès le rassasiement (diminution du plaisir à manger et non la sensation de ventre rempli) et avant que la satiété ne s’installe entre 2 repas (état de non-faim).

 Repérer ces sensations vous permettra d’adapter vos apports alimentaires à vos vrais besoins. Un repas équilibré ne nécessite pas obligatoirement de longues préparations : des pâtes de la veille avec une tomate, quelques grains de maïs, 4-5 olives et une boîte de thon feront une excellente salade composée, complétée par un yaourt et hop le tour est joué !

Un sandwich peut tout aussi bien convenir en évitant la consommation régulière d’aliments riches comme la charcuterie ou les sauces à base de mayonnaise par exemple.

 Vous pouvez rester dans le traditionnel (jambon/concombre/carottes/petits oignons + fromage blanc ; fromage/tomate/salade + fraises) ou alors profiter de la multitude de pains à disposition : pain complet, faluche, ciabatta, bagel, pita, wrap…

 Et n’oubliez pas d’anticiper votre journée si vous savez que le midi vous aurez peu de temps, en prenant un petit-déjeuner copieux et éventuellement une collation l’après-midi seulement…. si la faim se fait sentir !

Afin d‘appréhender aux mieux la pause déjeuner et composer un repas équilibré, nous vous proposons de découvrir une vidéo, sur l’espace prévention de notre site, créée par l’Institut Pasteur de Lille, dans le cadre d’un mécénat avec le Groupe IRCEM.