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Parlez-en aux femmes que vous aimez !

Parlez-en aux femmes que vous aimez !

A l’occasion de l’opération « Octobre rose », dédiée à la prévention du cancer du sein, le Groupe IRCEM s’engage à promouvoir les actions de prévention des cancers « féminins ».

Généralisé sur l’ensemble du territoire depuis 10 ans, le dépistage organisé du cancer du sein permet à toutes les femmes âgées de 50 à 74 ans, de réaliser une mammographie tous les deux ans. Le dépistage organisé intègre une double lecture des radiographies, ce qui apporte une vraie sécurité quant à la fiabilité des résultats. La mammographie est prise en charge à 100 % par l’Assurance Maladie, l’invitation se fait par courrier.

Plus la détection d’un cancer est précoce, plus les chances de guérison sont importantes.

Le cancer du sein n’est pas le seul cancer féminin. Chaque année, en France, le  cancer du col de l’utérus provoque près de 1 000 décès. Il n’existe pas de dépistage organisé du cancer du col utérin. Par contre, chaque femme doit avoir le souci de se soumettre régulièrement à un dépistage individuel. Il repose sur la pratique régulière d’un examen gynécologique, le frottis, qui permet de détecter des lésions précancéreuses et cancéreuses du col et ainsi de prévenir l’apparition d’un cancer ou de le soigner.

Le cancer du col de l’utérus met, en moyenne, une quinzaine d’années à se développer après une infection par papillomavirus humains (HPV) persistante. Réalisé tous les trois ans (entre 25 et 65 ans) après deux examens classiques à un an d’intervalle, le frottis est donc le seul moyen de dépister le cancer du col de l’utérus.

Se faire vacciner contre le cancer du col de l’utérus est également aujourd’hui possible mais les vaccins disponibles ne protègent pas contre l’ensemble des papillomavirus humains (HPV) à l’origine du cancer du col de l’utérus. Cette vaccination ne constitue donc qu’un moyen complémentaire en matière de prévention du cancer du col et le dépistage par frottis reste indispensable dès l’âge de 25 ans, même pour les femmes vaccinées.

La vaccination est d’autant plus efficace que les jeunes filles n’ont pas encore été exposées au risque d’infection par le HPV. C’est pourquoi le Haut Conseil de la santé publique (HCSP), dans son avis du 28 septembre 2012, recommande la vaccination HPV chez les jeunes filles de 11 ans à 15 ans et en rattrapage chez les jeunes filles et jeunes femmes de 15 à 19 ans révolus.

N’hésitez pas à interroger votre médecin généraliste ou votre gynécologue sur ces actions de prévention.

Relayez ces messages, parlez-en aux femmes que vous aimez !

Sources : www.ligue-cancer.net, www.ameli.fr

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